Dry January : Le retour (et peut-être la victoire, on verra bien !)
Voilà 4 ans que je me lance dans ce défi héroïque du Dry January, où l'on troque le vin pour l'eau (à l'inverse de JC !). Résultats des saisons précédentes ? Un mélange d’échecs dignes des échecs et des succès à la Rocky Balboa.
Cette année ?
Nous sommes le 10 janvier, et franchement, écrire un article alors qu’il reste 20 jours de combat à mener, c’est un peu comme crier victoire à la mi-temps d’un match. Mais bon, je prends mes petites victoires où je peux.
Est-ce difficile ?
Pas vraiment. Pas encore. Pour l’instant, personne n’a brandi un verre de vin rouge sous mon nez en me susurrant "Et si tu faisais une exception ?" Alors oui, je suis optimiste. Cette année, je tiens le coup.
Est-ce que ça me manque ?
Un petit verre, sur le moment, non. Mais l’idée de trinquer lors d’un apéro bien arrosé ? Peut-être un tout petit peu. En revanche, le moral boosté et la peau qui s’améliore, ça, c’est un vrai plus. Bonus : me sentir comme une guerrière du bien-être chaque jour gagné.
Et après ?
Continuer plus d’un mois ? Qui sait ? Dans l’idéal, je veux croire que cette expérience me transforme en modèle de consommation modérée. Mais soyons réalistes : la fin de Dry January a souvent été fêtée avec un verre... ou deux.
En conclusion :
Longue vie au Dry January, ce marathon de l’eau gazeuse et des cocktails sans alcool ! Que je tienne ou pas jusqu’au bout, je suis fière d’avoir commencé. Et si jamais je flanche, eh bien, on se revoit l’an prochain pour une autre tentative héroïque. 🍸 (ou pas).
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